« Si un dictateur publiait un appel d’offres pour rouvrir des goulags, nul doute qu’il se trouverait des cabinets de conseil prêts à y répondre »

De nombreux cabinets de conseil n’hésitent plus à plancher sur des propositions scandaleuses, comme le déplacement massif de Gazaouis ou le surdosage d’opiacés. Dans une tribune au « Monde », David Naïm, consultant, se demande comment on en est arrivé là.